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Vingt-cinq objets provenant d'animaux menacés saisis à Anvers
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Vingt-cinq objets provenant d'animaux menacés saisis à Anvers
Vingt-cinq objets provenant d'animaux menacés saisis à Anvers
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La police a saisi jeudi, chez un antiquaire anversois, 25 objets protégés par la convention de Washington, dont des carapaces de tortues, une peau de lion, de l'ivoire ou encore un crâne de crocodile du Nil. La valeur de la marchandise est estimée à quelque 36.000 euros, a indiqué vendredi la police fédérale dans un communiqué.
Lors d'un contrôle effectué le mercredi 29 octobre dernier par les services Environnement de la police fédérale et de la police locale d'Anvers dans son magasin de la Leopoldstraat, l'antiquaire n'a pu présenter les documents nécessaires pour la vente de 75 objets alors que le commerce de ce type de marchandise est soumis à des règles strictes.
A la demande du parquet d'Anvers, du service CITES (Convention on International Trade Endangered Species) et du Service public fédéral (SPF) Santé publique, les objets concernés ont été placés sous scellés.
La police, accompagnée d'un expert, est revenue sur place une semaine plus tard. L'antiquaire n'étant toujours pas en ordre, ce sont finalement 25 objets qui ont été saisis par les fonctionnaires de police. Ils seront remis au SPF Santé publique. Il s'agit de la plus grosse prise jamais opérée dans le milieu anversois des antiquaires.
Il s'agit notamment de quatre carapaces de tortues de mer, dont un seul exemplaire de grande taille vaut 3.500 euros, d'un squelette de tête de morse, d'un squelette de marsouin, d'un crâne et d'une tête empaillée de crocodiles du Nil, de 11 bracelets en ivoire, d'une peau et d'une tête de lionnes, d'un crâne de léopard, etc.
Le SPF Santé publique sera chargé de donner une nouvelle affectation à ces objets, probablement plus scientifique. Le marchand d'antiquités, âgé de 48 ans, a jusqu'au 23 novembre prochain pour collecter les documents nécessaires à d'autres objets restant en sa possession. L'homme n'a pas été arrêté et son magasin est toujours ouvert.
S'il devait répondre de ses actes devant un tribunal, il risquerait une peine de prison de 6 mois à 5 ans et une amende de 137,5 à 275.000 euros. Une enquête approfondie devrait permettre d'identifier la provenance de ces différents objets. Le commerce d'objets issus d'animaux protégés ou d'espèces menacées est strictement réglementé.
Lors d'un contrôle effectué le mercredi 29 octobre dernier par les services Environnement de la police fédérale et de la police locale d'Anvers dans son magasin de la Leopoldstraat, l'antiquaire n'a pu présenter les documents nécessaires pour la vente de 75 objets alors que le commerce de ce type de marchandise est soumis à des règles strictes.
A la demande du parquet d'Anvers, du service CITES (Convention on International Trade Endangered Species) et du Service public fédéral (SPF) Santé publique, les objets concernés ont été placés sous scellés.
La police, accompagnée d'un expert, est revenue sur place une semaine plus tard. L'antiquaire n'étant toujours pas en ordre, ce sont finalement 25 objets qui ont été saisis par les fonctionnaires de police. Ils seront remis au SPF Santé publique. Il s'agit de la plus grosse prise jamais opérée dans le milieu anversois des antiquaires.
Il s'agit notamment de quatre carapaces de tortues de mer, dont un seul exemplaire de grande taille vaut 3.500 euros, d'un squelette de tête de morse, d'un squelette de marsouin, d'un crâne et d'une tête empaillée de crocodiles du Nil, de 11 bracelets en ivoire, d'une peau et d'une tête de lionnes, d'un crâne de léopard, etc.
Le SPF Santé publique sera chargé de donner une nouvelle affectation à ces objets, probablement plus scientifique. Le marchand d'antiquités, âgé de 48 ans, a jusqu'au 23 novembre prochain pour collecter les documents nécessaires à d'autres objets restant en sa possession. L'homme n'a pas été arrêté et son magasin est toujours ouvert.
S'il devait répondre de ses actes devant un tribunal, il risquerait une peine de prison de 6 mois à 5 ans et une amende de 137,5 à 275.000 euros. Une enquête approfondie devrait permettre d'identifier la provenance de ces différents objets. Le commerce d'objets issus d'animaux protégés ou d'espèces menacées est strictement réglementé.
Re: Vingt-cinq objets provenant d'animaux menacés saisis à Anvers
ANVERS...
.....la plaque tournante de tous les abus. C'est révoltant
.....la plaque tournante de tous les abus. C'est révoltant
Invité- Invité
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